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Histoire
20 juin 2024
Holding back the winds of change in Madagascar…with the sisal plant
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Histoire
20 juin 2024
Sommet de l’avenir
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Communiqué de presse
20 juin 2024
Madagascar : Appel au respect de l’indépendance du pouvoir judiciaire et des droits à la liberté d’expression
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Les objectifs de développement durable à Madagascar
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs globaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU à Madagascar :
Histoire
19 mars 2024
« Face au changement climatique, il est important d’écouter les solutions que proposent les communautés »
Ces dernières années, le pays insulaire africain a été frappé par des cyclones sans précédent et a connu la sécheresse la plus grave depuis quatre décennies, provoquant une famine généralisée et faisant sombrer des milliers de personnes dans des conditions proches de la famine.Les Nations Unies collaborent avec les autorités et la population malgache pour affronter ensemble la situation. Ils misent notamment sur les mesures anticipatives pour minimiser l'impact du dérèglement climatique et ses évènements extrêmes. Pour en savoir plus sur leurs actions, on écoute les précisions de Voahary Rakotovelomanantsoa, la gouverneure d’Anosy, une région au sud-est du pays, au micro de Zoé Rasoaniaina, du Bureau de l’ONU à Madagascar.Télécharger Ecouter l'audio ici
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Histoire
02 avril 2024
Témoignage : Un ‘courageux’ enfant de 12 ans prend position contre le viol à Madagascar
La commissaire en chef de la police malgache a qualifié de "courageuse" une jeune fille de 12 ans qui aurait été violée à plusieurs reprises par son beau-père, après qu'elle se soit présentée pour raconter son histoire lors d'une séance d'information sur la violence basée sur le genre soutenue par les Nations Unies.UN News s'est entretenu avec la commissaire Aina Randriambelo, qui a décrit les efforts déployés par son pays pour promouvoir l'égalité des genres et une meilleure compréhension de ce qui constitue l'exploitation et les abus sexuels.J'ai été très surprise lorsque j'ai appris qu'une jeune fille de 12 ans, qui avait participé à l'une de nos séances de sensibilisation en milieu scolaire, avait révélé à un policier qu'elle avait été violée pendant deux ans par son beau-père, âgé de 40 ans. Elle a eu le courage d'expliquer qu'elle avait été victime de cet abus, compte tenu de la stigmatisation que cela entraîne dans notre société. Dans certains cas, les familles rejettent les enfants qui font ce type d'allégations Elle est mineure, donc nous avons dû informer sa mère, qui a déclaré ne rien savoir de cet abus, qu'elle avait l'obligation légale de porter plainte, ce qu'elle a fait. Nous lui avons expliqué sa position sur le plan juridique mais aussi le fait qu'en tant que mère, elle était la première ligne de protection pour sa fille.Je travaille sur les questions de violence basée sur le genre depuis plus de 20 ans et bien qu'il soit important pour moi de conserver mon professionnalisme, ces événements vous affectent, mais je suis également heureuse que nous ayons pu faire la différence en agissant très rapidement pour mettre fin à cet abus.Arrêté et en attente de jugementLa police a rapporté ce succès sur les réseaux sociaux comme avertissement à d'autres et pour alerter d'autres victimes qui se trouvent dans le même type de situation d'abus. L'homme est maintenant en prison en attendant son procès et s'il est reconnu coupable, il encourt une peine pouvant aller jusqu'à 12 ans.La police nationale a mis en place un département de protection des mineurs il y a 20 ans et en 2017 a établi des protocoles pour traiter la violence basée sur le genre. Ces protocoles comprennent l'accès aux soins médicaux.Nous avons également institué neuf brigades de police locales composées uniquement de femmes pour soutenir les victimes d'abus. De plus, il existe de nouvelles lois dans notre code pénal qui permettent la poursuite rapide des affaires impliquant des abus. En tant que société, nous avons encore du travail à faire pour que les gens reconnaissent les droits de chacun, en particulier dans les contextes familiaux. Certaines femmes ne comprennent même pas le concept de consentement. Souvent, les hommes ne comprennent pas la différence entre faire preuve d'autorité parentale au sein de leur famille et être violents, et ils ont l'impression que ce qui se passe à la maison est une affaire privée. La violence est donc souvent acceptée comme un élément normal de la vie familiale et les gens ne sont souvent pas disposés à la dénoncer, il faudra donc du temps pour changer les mentalités. Le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) a soutenu des sessions de formation sur les droits de l'homme. C'est important, car ce n'est que lorsque les gens comprennent leurs droits qu'ils peuvent se rendre compte que leurs droits ont été bafoués. Ainsi, une victime peut ne pas savoir qu'elle est victime et ne pas se manifester pour signaler un éventuel abus.Nous veillons également à ce que les femmes et les enfants reconnaissent l'importance d'un examen médical après un acte de violence sexuelle. Il s'agit d'un élément de preuve essentiel dans toute affaire portée devant les tribunaux.L'UNICEF nous a aidés à mettre en place un centre de prise en charge des enfants victimes de violences sexuelles, qui comprend l'ensemble des services de soins intégrés dont ils ont besoin : soutien psychosocial et accompagnement par des travailleurs sociaux déployés par le département de la population, soins médicaux par des médecins de l'hôpital.Des policiers sont présents pour recueillir les plaintes, car si les victimes rentrent chez elles, il est possible qu'elles reviennent sur leurs déclarations, surtout si elles sont menacées de représailles.L'UNICEF a également soutenu la formation de travailleurs sociaux. On m'a dit que la jeune fille allait bien, mais je me demande comment elle pourrait être affectée à long terme. Pourra-t-elle avoir des relations sexuelles, sera-t-elle stigmatisée et quel type de conseil recevra-t-elle pour faire face à son traumatisme ? Du point de vue de la police, j'ai hâte que justice soit rendue.UNFPA Fr link: https://madagascar.unfpa.org/UNICEF Fr link: https://www.unicef.org/madagascar/
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![Photo ville Antananarivo](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-04/12-02-2024-Mada-Anatananarivo-02.jpg?itok=ile0FLZ_)
Vidéo
12 mars 2024
« Quintet of Change Lab » : Madagascar présélectionné pour le prix 2023 du Secrétaire Général des Nations Unies
Cette année le prestigieux prix du Secrétaire Général des Nations Unies pourrait trouver la voie de la Grande Ile ! Et ça serait une toute première !Il s’agit du prix dans la catégorie « ONU 2.0 », pour « honorer une équipe promouvant une culture organisationnelle qui reste sur l’agilité, la créativité, l’innovation, l’apprentissage, l’adaptabilité, l’utilisation des données, la prospective stratégique, les défenseurs de la diversité et de l’inclusion, et l’autonomisation des jeunes ».L’équipe en question est celle du laboratoire “Madagascar quintet of change Lab”, au sein du Bureau du Coordonnateur Résident des Nations Unies à Madagascar. Le laboratoire – guidé par l’économiste Fabio Losa et constitué de Haja Andrianjaka, Hasina Rakotondrazafy et Olivier Kambala, a impulsé et accompagné les 20 agences de l’ONU dans l’expérimentation de nouvelles compétences et approches pour un changement de culture organisationnelle en mesure de mieux répondre aux besoins des populations Malagasy.Avec la contribution de toutes les agences onusiennes à Madagascar, le laboratoire a innové l’Analyse Commune de Pays et le Plan-cadre pour le développement durable 2024-2028 par l’application de la pensée systémique et l’analyse prospective. Ceci pour mieux répondre à la complexité, l’interconnexion et l’imprévisibilité du monde actuel.Il a testé des nouvelles formes de coopération inter-agence et d’engagement des communautés locales à travers de l’initiative « Zones de convergence des Nations Unies ».Il a expérimenté des formes originales d’autonomisation des jeunes leur permettant de réfléchir à leurs avenirs dans l'emploi et l'entrepreneuriat.Et il a introduit des innovations dans le domaine des données et des analyses en faveur d’une culture de la connaissance et de l’inclusion.Nous vous invitons à regarder la vidéo qui sera utilisée pour présenter
la candidature de Madagascar au vote final en mars 2024. RemerciementsAu Coordonnateur Résident, à l’Équipe du pays et à toutes les agences des Nations Unies à Madagascar pour l’appui et l’engagement continus dans ce parcours.À Tiina Neuvonen de UN Global Pulse pour avoir nommé le Laboratoire au prix 2023.Aux personnes qui ont fourni leurs témoignages pour la vidéo.À l’équipe technique et aux voix ayant travaillé à sa réalisation.Au prestataire de service Ramsflare pour la production de la vidéo. Personne de contactFabio Losa, ÉconomisteBureau du Coordonnateur Résident des Nations Unies à MadagascarFabio.losa@un.org +261 32 23 601 48
la candidature de Madagascar au vote final en mars 2024. RemerciementsAu Coordonnateur Résident, à l’Équipe du pays et à toutes les agences des Nations Unies à Madagascar pour l’appui et l’engagement continus dans ce parcours.À Tiina Neuvonen de UN Global Pulse pour avoir nommé le Laboratoire au prix 2023.Aux personnes qui ont fourni leurs témoignages pour la vidéo.À l’équipe technique et aux voix ayant travaillé à sa réalisation.Au prestataire de service Ramsflare pour la production de la vidéo. Personne de contactFabio Losa, ÉconomisteBureau du Coordonnateur Résident des Nations Unies à MadagascarFabio.losa@un.org +261 32 23 601 48
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Histoire
04 avril 2024
Mother makes 200km emergency trip across rural Madagascar to save baby
A young mother in Madagascar has been describing how she was forced to make a 200km emergency journey on challenging rural roads to a specialist regional hospital after she experienced difficulties giving birth at home.“I thought I was going to lose my baby and die on the journey to hospital.”The chilling words of Samueline Razafindravao, who had to make the harrowing hours-long trip to the nearest specialist hospital in Ambovombe town in the Androy region of southern Madagascar after it became clear she might lose her child if she did not seek urgent medical attention.Ms. Razafindravao spoke to UN News ahead of World Health Day, marked annually on 7 April.In a country where many babies are born at home and where a traditional midwife may be paid a chicken to deliver a baby, the decision she had to make was a momentous one.“I tried to give birth at home because I was worried about the expense of going to hospital,” she said, “but I knew I was having too many difficulties, so I went to the local health centre.”Health carers there recognised that she needed a more sophisticated level of care and called an ambulance from the Androy Regional Referral Hospital, a journey across a region laced with unyielding roads.“The baby was pushing a lot and then suddenly was not moving. I thought I was going to die and lose the baby as well.”Lack of ambulancesIt’s a rare lifesaving luxury and an unusual opportunity to be able to call an ambulance in Madagascar. But, then the Androy Regional Referral Hospital is perhaps not a typical hospital in what is one of the poorest regions in one of Africa’s poorest countries.It has developed into a specialist hospital for a range of services, including maternal health, thanks in part to the support of United Nations agencies working in the country. The UN Population Fund (UNFPA) provided one of the two ambulances the hospital has at its disposal. The agency also supports a surgeon who carries out Caesarean sections as well as obstetric fistula surgery as well as two midwives who help with delivering babies and family planning. It has also provided incubators for premature babies and birthing kits for mothers. UNFPA’s Dr. Sadoscar Hakizimana, a surgeon who has delivered dozens of babies by Caesarian section at the hospital, believes that a concentration of maternal health services is the key to saving more lives.“Many pregnant women, perhaps 60 to 70 per cent, who arrive here have already lost their baby because they have sought medical help too late,” he said, “but we have a 100 per cent success rate of healthy births, either natural or Caesarian, for those mothers who arrive on time, as we have a range of care options we can offer them.”All the care is free and is complemented by other services provided by different UN agencies. The UN Children’s Fund (UNICEF) is providing nutritional and medical care for children suffering from severe acute malnutrition as well as information sessions on good nutritional practices for parents.The World Health Organization (WHO) is providing services for people with disabilities and those with mental health challenges.And UN Development Programme (UNDP) has worked with the hospital to install solar panels to ensure that the equipment essential to keeping people alive is not rendered inoperable by the sometimes erratic power supply from the grid. Dr. Germaine Retofa, the acting Regional Director for Public Health in Androy, has overseen the integration of services at the hospital which has led, amongst other improvements, to a reduction in maternal and infant mortality as well as an increase in childhood vaccination.“It makes sense to bring all these services together, as we can offer a more holistic approach to health care which may include maternal health services alongside nutrition advice and care for malnourished children,” she said. “It’s also easier to add additional services when we have this structure in place.”The UN in Madagascar is focusing its resources on what it is calling “convergence zones”, which allows UN humanitarian and development-focused agencies to coordinate long-term interventions. “In these convergence zones, it’s really important to underscore that development and humanitarian actors work in partnership,” said Natasha van Rijn, the Resident Representative for the UNDP in Madagascar.“If we allow ourselves to look at the situation in Madagascar with all the complexity it deserves, then we have a chance of addressing the needs in all their complex multisectoral dimensions,” she added.Back at Androy Regional Referral Hospital, Ms. Razafindravao and her now four-day-old baby girl, who was ultimately born by Caesarean section, are doing well on the maternity ward. As a young mother, she is learning how to breastfeed her baby, who she has named Fandresena, and before long, she’ll make the long 200 km journey back home, but this time not in an ambulance called in an emergency.
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![19-02-2024-Mada-hospital-04](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-04/19-02-2024-Mada-hospital-04.jpg?itok=UKNoiaU5)
Histoire
03 avril 2024
For UN Madagascar, Sustainable Development is the Surest Way Out of Crisis
How can people be best supported during humanitarian crises with limited aid budgets and what can be done to help those same people break out of the cycle of dependency caused by multiple crises and move towards more sustainable development?These are the questions that UN agencies on the ground in Madagascar are considering as the island nation struggles against climate change, huge humanitarian needs and persistent underdevelopment.UNICEF’s Deputy Representative, Head of Programmes Gilles Chevalier and Natasha van Rijn, Resident Representative for the UN Development Programme discuss how changes in the way they are working are helping to reinforce resilience and sustainable development.Gilles Chevalier: One of the major decisions we have made at the UN Children's Fund (UNICEF) is to reinforce our staff footprint in the south of Madagascar which has been affected by drought due to climate change and the El Niño effect. The people in this part of the country are very vulnerable; many suffer from malnutrition and a lack of access to basic services, so there are many humanitarian needs.There are a number of UN humanitarian agencies which are converging to contribute to the relief effort in the Grand Sud region. Systematically, those actors are also looking at ways to prevent and mitigate the devastating impacts of climate change.Natasha van Rijn: The development indicators in the south, for example, for health, education, nutrition, infrastructure, energy supply, are all weaker than they are in other parts of the island, and that is as central to the planning and the conversations that need to take place as it is to the humanitarian response that is currently ongoing.The UN is engaged in both humanitarian and development work. One way to define the difference is to consider humanitarian work as addressing the symptoms of an illness in an emergency situation while development works towards health and well-being by addressing the underlying structural issues which may eventually lead to a humanitarian crisis. Gilles Chevalier: As best we can, we're trying to avoid working on small-scale interventions in many different locations. Instead, we are looking at what complementarities are possible between the interventions of the United Nations system and its partners. We have selected what we are calling “convergence zones” based on the multidimensional vulnerability that can be identified in the various districts. In this way the UN system can really build a coordinated long-term intervention.Natasha van Rijn: Investing more heavily in one geographical area, has created the environment in which others can capitalize on the investments being made. In these convergence zones, and generally as a rule, it's really important to underscore that development and humanitarian actors work in partnership. We bring different skill sets to the table depending on the issue; whether it’s long-term experience with national partners or how to respond rapidly in an emerging crisis. It’s important to also acknowledge the role of national counterparts, the government, private sector, civil society or communities as they are at the core of humanitarian and development work.Gilles Chevalier: We've already seen a very clear shift in the partners' approach to programmes in convergence zones. A large number of them are not only looking at the survival of populations but increasingly, they also focus on resilience building. We’re pleased to see that financial partners are injecting increasingly large amounts of money with a longer-term outlook, recognizing the importance of creating a sustainable impact. This can only happen if systems are strengthened locally and solutions are contextually adapted. Natasha van Rijn: We call this the humanitarian and development nexus. The nexus is about aligning efforts to address risks, prevent development losses and build resilience in the midst of crisis. Peace is the third aspect of the nexus together with development and the fulfillment of humanitarian needs. None of these can be achieved without one another.There is a good example of this with the intervention of the UN’s Peacebuilding Fund in Betroka, Anosy region in the Grand Sud of Madagascar, an area which was insecure due to cattle rustling. The Fund’s work there contributed towards stabilizing the local situation and enabled humanitarian agencies to provide aid more safely and for development actors to start discussions with the local authorities about a range of issues including local governance, policing and boosting economic activity.Gilles Chevalier: It’s essential for Madagascar to remain at the center of attention not only for our governmental partners, but also for donors. Globally, Madagascar was not a priority for a long time, but now it is recognized as one of the countries most affected by climate change worldwide. In this sense, Madagascar has put itself firmly on the map in recent years.Natasha van Rijn: If we allow ourselves to look at the situation in Madagascar with all the complexity it deserves, then we have a chance of addressing the needs in all their complex multi-sectoral dimensions. Unfortunately, typical funding mechanisms don't necessarily always lend themselves to that as they are targeted at either humanitarian or development or peacebuilding interventions.This is why the coordinating role of the UN, and specifically the Resident Coordinator’s Office, is as important as applying nexus approaches in the field as it brings all partners together to discuss the most effective way to contribute to the long-term stability and prosperity of Madagascar.
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![Access to water is a priority amongst the largely rural population of southern Madagascar.](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-04/01-03-2024-mada-dd-08.jpg?itok=6wZe17wm)
Histoire
20 juin 2024
Sommet de l’avenir
Qu’est-ce que le Sommet de l’avenir ? Le Sommet de l’avenir est une manifestation de haut niveau qui rassemblera les dirigeantes et dirigeants du monde entier afin de créer un nouveau consensus international et de décider ensemble comment améliorer le présent et préserver l’avenir.Il offrira une occasion unique de restaurer une confiance érodée et de démontrer que la coopération internationale permet de relever de manière efficace les défis de notre époque ainsi que ceux qui se sont fait jour ces dernières années ou qui pourraient encore se profiler à l’horizon.Nous connaissons déjà l’objet du Sommet de l’avenir, qui est celui de nombreux accords et engagements existants, au premier rang desquels se trouve la Charte des Nations Unies, suivie de la Déclaration universelle des droits de l’homme, du Programme 2030, de l’Accord de Paris, du Programme d’action d’Addis-Abeba et bien d’autres.Dès lors, la question ne sera pas « quoi », mais « comment » ? Comment mieux coopérer pour concrétiser les aspirations et atteindre les objectifs évoqués à l’instant? Comment répondre aux besoins du présent tout en se préparant aux défis de l’avenir ?
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![SOMMET DE L'AVENIR](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-06/WhatsApp%20Image%202024-06-19%20%C3%A0%2016.24.46_7648a119_0.jpg?itok=sLoN6VZO)
Histoire
20 juin 2024
Holding back the winds of change in Madagascar…with the sisal plant
The cultivation of sisal plants by some of the most vulnerable communities in southern Madagascar is helping to tackle desertification and allow people to stay on their land, thanks to a project by the UN Development Programme.The seasonal Tiomena wind, a fiercely strong wind that blows over the coastline, has driven sandy soils across productive farmland forcing many people to give up their subsistence farming activities.But the planting of sisal has helped to reverse the trend as Daniel Dickinson reports for the Lid is On Podcast from southern Madagascar.Audio CreditUN News/Daniel DickinsonAudio11'50" DownloadPhoto CreditUN News/Daniel Dickinson
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![Holding back the winds of change in Madagascar…with the sisal plant](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-07/Capture%20d%E2%80%99%C3%A9cran%202024-07-09%20121234.png?itok=uvCjZm0_)
Histoire
27 mai 2024
30e année de Commémoration du Génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda : « Se souvenir, bâtir, ensemble »
« Nous n’oublierons jamais les victimes de ce génocide. Nous n’oublierons jamais non plus la vaillance et la résilience de celles et ceux qui en ont réchappé, dont le courage et la volonté de pardonner restent un éclair de lumière et d’espoir au plus sombre de ce chapitre de l’histoire de l’humanité. » Tel est le message du Secrétaire Général des Nations Unies, M. Antonio Guterres pour marquer la 30e année de commémoration du Génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda. Une cruauté qui a duré 100 jours, du 7 avril au 17 juillet 1994, avec des pertes énormes car environ 800 000 à un million d’hommes, de femmes et d’enfants Rwandais, dont la majorité Tutsi, ont perdu la vie. Selon la Convention pour la prévention et la répression du crime de l’Organisation des Nations Unies, un génocide est « Commis dans l'intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux ». C’est donc tout naturellement que le Gouvernement Malagasy, le Système des Nations Unies à Madagascar avec la Communauté Rwandaise, les membres de la Communauté Internationale, les partenaires techniques et financiers et les jeunes ont ensemble rendu hommage aux millions de personnes assassinées atrocement à travers la marche silencieuse, en communion dans la prière et tout au long de la cérémonie. Un hommage renforcé par le Ministre des Transports et de la Météorologie, M. Valéry Ramonjavelo, qui s’est prononcé au nom du Président de la République de Madagascar et au nom du Premier ministre Chef du Gouvernement à travers un témoignage poignant et enrichissant. « Se souvenir », « souviens-toi », « pour éviter que la bête qui est toujours là ne se réveille ». À travers ces mots, le ministre a fait allusion à ce que l’histoire ne s’oublie pas et ne se répète pas ! Chacun unissait leur voix pour parler haut et fort, les valeurs à retenir lors de cette commémoration : « Se souvenir, bâtir, ensemble ». Le Coordonnateur résident du Système des Nations Unies à Madagascar, M. Issa Sanogo, a évoqué dans son discours que : « l’histoire ne s’oublie jamais mais fait appel à chacune et chacun d’entre nous à bâtir un nouveau monde loin de la haine et à vivre en harmonie ensemble pour que nos descendants puissent vivre dans la Paix. » Un appel lancé à tous afin d’en tirer les leçons de cette abomination, pour ne plus répéter les mêmes erreurs du passé, à promouvoir la Paix, à bannir la culture de la haine et la discrimination dans le monde pour un avenir meilleur. Le Rwanda a connu les moments parmi les plus difficiles, mais a su se relever dans les méandres de la violence et de la haine pour devenir ce qu’il est aujourd’hui. Les défis étaient titanesques, mais le Rwanda a ressuscité sur le plan politique, social, de la justice, par le biais de la réconciliation nationale, la consolidation de l’unité nationale par les survivants du Génocide, afin de reconstruire tout un pays avec leurs bourreaux. Un propos partagé par le Président de la Communauté Rwandaise, M. Tharcisse BYAJE. La Commémoration a vu la participation des jeunes pour réaffirmer la solidarité, l’unité et la Paix à travers le plaidoyer de Toavina, étudiant à l’Université d’Antananarivo, en évoquant l’importance de retenir l’histoire et d’en tirer des leçons."
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![30e année de Commémoration du Génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda : « Se souvenir, bâtir, ensemble »30e année de Commémoration du Génocide perpétré contre les Tutsis au Rwanda : « Se souvenir, bâtir, ensemble »](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-05/WhatsApp%20Image%202024-05-03%20%C3%A0%2015.03.28_4f22fc7c.jpg?itok=ETcvmMNq)
Histoire
04 juin 2024
Rencontre BNGRC et partenaires
Le BNGRC a organisé, un review de la mise en œuvre de ses priorités 2021 – 2025 avec ses partenaires potentiels regroupés au sein de l’Equipe Humanitaire Pays, à travers un petit déjeuner tenu le jeudi 23 mai 2024 au Novotel Antananarivo. L’événement a été co-facilité par Monsieur le Directeur Général du BNGRC, le Général de Division Elack Olivier Andriakaja, et Monsieur le Coordonnateur résident du Système des Nations Unies, Monsieur Issa Sanogo. Des grandes réalisations ont été notées, à savoir la mise en place du Centre Opérationnel de Gestion de Crise au BNGRC, parmi les plus sophistiqués dans la région, l’harmonisation de tous les efforts sur les Systemes d’Alerte Précoce dans le cadre de l’initiative mondiale « Système d’Alerte Précoce pour tous ou EW4All », l’ouverture des bureaux de BNGRC dans les régions, le rapport d’avancement de la mise en œuvre du Cadre de Sendai sur la Reduction des Risques de Catastrophe, etc.En même temps, les grandes priorités pour les années à venir ont été également discutées, notamment la poursuite de la décentralisation du BNGRC en assurant les ressources suffisantes (humaines, matérielles, financières), la validation du rapport CADRI (Capacity for Disaster Reduction Initiative) afin de mobiliser des ressources pour la mise en œuvre des recommandations, l’importance de garder la visibilité et les besoins pressants des crises humanitaires à Madagascar notamment celles causées par El Nino comme la compétition sur la mobilisation des ressources est très forte dans la région SADC, la mise en œuvre du plan d’action EW4All 2024 – 2027, le renforcement de la communication au niveau communautaire pour que les communautés soient mieux sensibilisées sur leurs propres responsabilités, etc Le BNGRC a exprimé ses grandes satisfactions par rapport aux appuis fournis par ses partenaires, mais en même temps partagés les grands défis dans le cadre de la collaboration, notemment les procédures administratives parfois lourdes et différentes d’un partenaire à l’autre ; et d’autre défi interne comme la vieillesse du parc véhicule du Bureau. Initiée en 2021, ce genre de rencontre de haut niveau sera fait régulièrement dans les années à venir, au moins une fois par an.
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![DG BNGRC et Coordonnateur Résident UN Madagascar](/sites/default/files/styles/featured_content/public/2024-06/442497791_431967849460838_6488163961734086385_n.jpg?itok=DNetxdRN)
Histoire
08 mai 2024
Lancement de l'Incubateur de l'Energie Durable,
Le lancement de cette initiative phare du projet FIER ( Financement Integré des Energies duRables ) s'est conclu avec brio ce vendredi 26 avril 2024 au Novotel Alarobia réunissant les parties prenantes clés du secteur, y compris des représentants du gouvernement, des Nations Unies, des start-ups, des PME, des universitaires et des jeunes passionnés par l'énergie durableL'IED s'engage à stimuler l'innovation dans le domaine de l'énergie durable à Madagascar grâce à des partenariats solides et à un soutien technique, financier et opérationnel. .La mise en place et l’opérationnalisation à Madagascar de l’Incubateur de l’Energie Durable (IED) ont été officialisées ce vendredi par la Représentante Résidente de l’ONUDI, Madame Volatiana RAKOTONDRAZAFY, et le Secrétaire Général du Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Monsieur Thierry ANDRIANTSOA. L’IED est une initiative visant à catalyser le développement et l'innovation dans le secteur de l'énergie durable à Madagascar. Il s’agit de la troisième composante du programme conjoint « Financement Integré des Energies duRables » (FIER) du Système des Nations Unies et du Gouvernement de Madagascar, financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les Objectifs de Développement Durable. Mené sous le leadership technique de l’ONUDI, il cible en particulier les start-ups et les petites et moyennes entreprises s’intéressant au secteur de l’énergie durable.A la différence des incubateurs classiques, l’IED apporte un soutien stratégique et opérationnel pour permettre aux entrepreneurs de créer et réaliser des projets novateurs dans le domaine de l’énergie durable, de la cuisson propre et de l’efficacité énergétique. L’appui de l’IED consiste notamment à fournir un accompagnement technique, financier et opérationnel visant à renforcer les capacités des entreprises, à affiner leurs modèles économiques permettant d'accélérer leurs croissances, et à préparer les projets/entreprises à être financièrement viables et attractives pour les investisseurs. L’IED va ainsi stimuler le progrès et l'innovation dans le domaine de l'énergie durable à Madagascar en reposant sur des partenariats avec des acteurs expérimentés de l’écosystème entrepreneurial local ainsi que des experts techniques dans le domaine de l’énergie.
Le lancementLe lancement de cette initiative phare « Incubateur de l’Energie Durable » a réuni ce vendredi au Novotel Alarobia, les parties prenantes clés du secteur dont des représentants du Gouvernement et des Nations Unies, des start-ups, des petites et moyennes entreprises, des Universitaires ainsi que des jeunes et des femmes intéressés par le domaine de l'énergie.A l’occasion, la Représentante Résidente de l’ONUDI Mme Volatiana RAKOTONDRAZAFY a souligné l’importance que jouera l’IED dans la promotion du secteur de l'énergie à Madagascar. Une cinquantaine de projets novateurs seront appuyés dans le cadre de la période de mise en œuvre du programme conjoint FIER. Dans son message, le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, M. Issa SANOGO a déjà fait appel aux partenaires pour étendre la portée de l’initiative et assurer la durabilité de l’IED au-delà de la période d’appui du programme en affirmant : “Je félicite ainsi toutes les parties prenantes impliquées jusqu'à présent dans l’IED, pour leur soutien inestimable tout au long de ce parcours...Nous comptons sur d’autres partenaires techniques et financiers, à voir une opportunité d’appui aux jeunes, aux femmes, au secteur de l’énergie, et d’élargir la portée de cet Incubateur de l’Energie Durable.”Les prochaines étapes après ce lancement consistent à l’appel à projets, le concours d'innovation, ainsi que le programme d'accompagnement en lui-même. Pour sa part, le Secrétaire Général du Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Monsieur Thierry ANDRIANTSOA a rappelé que les cibles de l'ODD 7 peuvent être atteintes pour Madagascar à condition de considérer les différents challenges comme autant d’opportunités. Il a lancé un appel vibrant aux compétences Malagasy capables de concevoir et dimensionner des systèmes d'énergies renouvelables. A propos du programme conjoint FIERFace aux défis énergétiques auxquels le pays fait face, le Système des Nations Unies avec le Gouvernement Malgache ont collaboré pour créer un programme financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les Objectifs de Développement Durable. Lancé en avril 2022, le projet FIER est mis en œuvre par le PNUD, le Fonds d'équipement des Nations Unies et l’ONUDI en partenariat avec le Ministère de l’Economie et des Finances et le Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures. D'ici Mars 2026, trois composantes seront déployées dont la mise en place d'un Fonds Souverain Malgache (FSM), l'opérationnalisation d’une facilité de réduction des risques (Derisking Facility) et l’Incubateur d’Energie Durable (IED).Œuvrons ensemble pour la transition énergétique de Madagascar
Le lancementLe lancement de cette initiative phare « Incubateur de l’Energie Durable » a réuni ce vendredi au Novotel Alarobia, les parties prenantes clés du secteur dont des représentants du Gouvernement et des Nations Unies, des start-ups, des petites et moyennes entreprises, des Universitaires ainsi que des jeunes et des femmes intéressés par le domaine de l'énergie.A l’occasion, la Représentante Résidente de l’ONUDI Mme Volatiana RAKOTONDRAZAFY a souligné l’importance que jouera l’IED dans la promotion du secteur de l'énergie à Madagascar. Une cinquantaine de projets novateurs seront appuyés dans le cadre de la période de mise en œuvre du programme conjoint FIER. Dans son message, le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, M. Issa SANOGO a déjà fait appel aux partenaires pour étendre la portée de l’initiative et assurer la durabilité de l’IED au-delà de la période d’appui du programme en affirmant : “Je félicite ainsi toutes les parties prenantes impliquées jusqu'à présent dans l’IED, pour leur soutien inestimable tout au long de ce parcours...Nous comptons sur d’autres partenaires techniques et financiers, à voir une opportunité d’appui aux jeunes, aux femmes, au secteur de l’énergie, et d’élargir la portée de cet Incubateur de l’Energie Durable.”Les prochaines étapes après ce lancement consistent à l’appel à projets, le concours d'innovation, ainsi que le programme d'accompagnement en lui-même. Pour sa part, le Secrétaire Général du Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Monsieur Thierry ANDRIANTSOA a rappelé que les cibles de l'ODD 7 peuvent être atteintes pour Madagascar à condition de considérer les différents challenges comme autant d’opportunités. Il a lancé un appel vibrant aux compétences Malagasy capables de concevoir et dimensionner des systèmes d'énergies renouvelables. A propos du programme conjoint FIERFace aux défis énergétiques auxquels le pays fait face, le Système des Nations Unies avec le Gouvernement Malgache ont collaboré pour créer un programme financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les Objectifs de Développement Durable. Lancé en avril 2022, le projet FIER est mis en œuvre par le PNUD, le Fonds d'équipement des Nations Unies et l’ONUDI en partenariat avec le Ministère de l’Economie et des Finances et le Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures. D'ici Mars 2026, trois composantes seront déployées dont la mise en place d'un Fonds Souverain Malgache (FSM), l'opérationnalisation d’une facilité de réduction des risques (Derisking Facility) et l’Incubateur d’Energie Durable (IED).Œuvrons ensemble pour la transition énergétique de Madagascar
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Communiqué de presse
20 juin 2024
Madagascar : Appel au respect de l’indépendance du pouvoir judiciaire et des droits à la liberté d’expression
À Madagascar, plusieurs membres de l'opposition et candidats indépendants ayant contesté le déroulement des dernières élections législatives auraient fait l'objet de représailles de la part des autorités, ainsi que d'autres formes d'intimidation et de menaces. Certains membres et dirigeants de l'opposition ont rapporté avoir reçu des appels menaçants et intimidants avant et après le scrutin. Deux candidats indépendants, qui avaient déposé des plaintes concernant des irrégularités pendant le scrutin, ont été accusés d'incendie volontaire et d’« atteinte à la sureté de l'État ». Ils ont été assignés à domicile pendant 17 jours avant d’être inculpés. Leurs droits à une procédure régulière et à un procès équitable doivent être pleinement respectés. Alors que la Haute cour constitutionnelle continue d'examiner les plaintes liées aux élections du 29 mai, nous demandons instamment le respect de l'indépendance du pouvoir judiciaire. Nous appelons également les autorités à garantir le respect des droits à la liberté d'expression et à la réunion pacifique. L'arrestation et la détention dans le but de punir l'exercice légitime de ces droits sont arbitraires. Cela crée un climat de peur et décourage les citoyens d'exercer librement l'ensemble de leurs droits civiques et politiques. FIN
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Communiqué de presse
07 mai 2024
L’Incubateur de l’Energie Durable marque ses débuts à Madagascar
L’IED est une initiative visant à catalyser le développement et l'innovation dans le secteur de l'énergie durable à Madagascar. Il s’agit de la troisième composante du programme conjoint « Financement Integré des Energies duRables » (FIER) du Système des Nations Unies et du Gouvernement de Madagascar, financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les Objectifs de Développement Durable. Mené sous le leadership technique de l’ONUDI, il cible en particulier les start-ups et les petites et moyennes entreprises s’intéressant au secteur de l’énergie durable.A la différence des incubateurs classiques, l’IED apporte un soutien stratégique et opérationnel pour permettre aux entrepreneurs de créer et réaliser des projets novateurs dans le domaine de l’énergie durable, de la cuisson propre et de l’efficacité énergétique. L’appui de l’IED consiste notamment à fournir un accompagnement technique, financier et opérationnel visant à renforcer les capacités des entreprises, à affiner leurs modèles économiques permettant d'accélérer leurs croissances, et à préparer les projets/entreprises à être financièrement viables et attractives pour les investisseurs. L’IED va ainsi stimuler le progrès et l'innovation dans le domaine de l'énergie durable à Madagascar en reposant sur des partenariats avec des acteurs expérimentés de l’écosystème entrepreneurial local ainsi que des experts techniques dans le domaine de l’énergie.
Le lancementLe lancement de cette initiative phare « Incubateur de l’Energie Durable » a réuni ce vendredi au Novotel Alarobia, les parties prenantes clés du secteur dont des représentants du Gouvernement et des Nations Unies, des start-ups, des petites et moyennes entreprises, des Universitaires ainsi que des jeunes et des femmes intéressés par le domaine de l'énergie.A l’occasion, la Représentante Résidente de l’ONUDI Mme Volatiana RAKOTONDRAZAFY a souligné l’importance que jouera l’IED dans la promotion du secteur de l'énergie à Madagascar. Une cinquantaine de projets novateurs seront appuyés dans le cadre de la période de mise en œuvre du programme conjoint FIER. Dans son message, le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, M. Issa SANOGO a déjà fait appel aux partenaires pour étendre la portée de l’initiative et assurer la durabilité de l’IED au-delà de la période d’appui du programme en affirmant : “Je félicite ainsi toutes les parties prenantes impliquées jusqu'à présent dans l’IED, pour leur soutien inestimable tout au long de ce parcours...Nous comptons sur d’autres partenaires techniques et financiers, à voir une opportunité d’appui aux jeunes, aux femmes, au secteur de l’énergie, et d’élargir la portée de cet Incubateur de l’Energie Durable.”Les prochaines étapes après ce lancement consistent à l’appel à projets, le concours d'innovation, ainsi que le programme d'accompagnement en lui-même. Pour sa part, le Secrétaire Général du Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Monsieur Thierry ANDRIANTSOA a rappelé que les cibles de l'ODD 7 peuvent être atteintes pour Madagascar à condition de considérer les différents challenges comme autant d’opportunités. Il a lancé un appel vibrant aux compétences Malagasy capables de concevoir et dimensionner des systèmes d'énergies renouvelables. A propos du programme conjoint FIERFace aux défis énergétiques auxquels le pays fait face, le Système des Nations Unies avec le Gouvernement Malgache ont collaboré pour créer un programme financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les Objectifs de Développement Durable. Lancé en avril 2022, le projet FIER est mis en œuvre par le PNUD, le Fonds d'équipement des Nations Unies et l’ONUDI en partenariat avec le Ministère de l’Economie et des Finances et le Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures. D'ici Mars 2026, trois composantes seront déployées dont la mise en place d'un Fonds Souverain Malgache (FSM), l'opérationnalisation d’une facilité de réduction des risques (Derisking Facility) et l’Incubateur d’Energie Durable (IED). Pour plus d’informations, contactez :Bureau du Coordinateur Résident des Nations à Madagascar, Mme Zoé RASOANIAINA, rasoaniaina@un.org, 0345953109ONUDI, Direction au niveau de l’Incubateur de l’Energie Durable j.randriamampianina@unido.org, 0320542537 Projet FIER, Communication, Mme Koloina Stéphanie ANDRIAMANANTENA, koloina.andriamanantena@undp.org, 0385552080Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Directeur de la Communication, Mr. Solo RAJAONSONdircom@meh.mg, solo.rajaonson@gmail.com, 0333330026 / 034 11 136 74
Le lancementLe lancement de cette initiative phare « Incubateur de l’Energie Durable » a réuni ce vendredi au Novotel Alarobia, les parties prenantes clés du secteur dont des représentants du Gouvernement et des Nations Unies, des start-ups, des petites et moyennes entreprises, des Universitaires ainsi que des jeunes et des femmes intéressés par le domaine de l'énergie.A l’occasion, la Représentante Résidente de l’ONUDI Mme Volatiana RAKOTONDRAZAFY a souligné l’importance que jouera l’IED dans la promotion du secteur de l'énergie à Madagascar. Une cinquantaine de projets novateurs seront appuyés dans le cadre de la période de mise en œuvre du programme conjoint FIER. Dans son message, le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, M. Issa SANOGO a déjà fait appel aux partenaires pour étendre la portée de l’initiative et assurer la durabilité de l’IED au-delà de la période d’appui du programme en affirmant : “Je félicite ainsi toutes les parties prenantes impliquées jusqu'à présent dans l’IED, pour leur soutien inestimable tout au long de ce parcours...Nous comptons sur d’autres partenaires techniques et financiers, à voir une opportunité d’appui aux jeunes, aux femmes, au secteur de l’énergie, et d’élargir la portée de cet Incubateur de l’Energie Durable.”Les prochaines étapes après ce lancement consistent à l’appel à projets, le concours d'innovation, ainsi que le programme d'accompagnement en lui-même. Pour sa part, le Secrétaire Général du Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Monsieur Thierry ANDRIANTSOA a rappelé que les cibles de l'ODD 7 peuvent être atteintes pour Madagascar à condition de considérer les différents challenges comme autant d’opportunités. Il a lancé un appel vibrant aux compétences Malagasy capables de concevoir et dimensionner des systèmes d'énergies renouvelables. A propos du programme conjoint FIERFace aux défis énergétiques auxquels le pays fait face, le Système des Nations Unies avec le Gouvernement Malgache ont collaboré pour créer un programme financé par le Fonds conjoint des Nations Unies pour les Objectifs de Développement Durable. Lancé en avril 2022, le projet FIER est mis en œuvre par le PNUD, le Fonds d'équipement des Nations Unies et l’ONUDI en partenariat avec le Ministère de l’Economie et des Finances et le Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures. D'ici Mars 2026, trois composantes seront déployées dont la mise en place d'un Fonds Souverain Malgache (FSM), l'opérationnalisation d’une facilité de réduction des risques (Derisking Facility) et l’Incubateur d’Energie Durable (IED). Pour plus d’informations, contactez :Bureau du Coordinateur Résident des Nations à Madagascar, Mme Zoé RASOANIAINA, rasoaniaina@un.org, 0345953109ONUDI, Direction au niveau de l’Incubateur de l’Energie Durable j.randriamampianina@unido.org, 0320542537 Projet FIER, Communication, Mme Koloina Stéphanie ANDRIAMANANTENA, koloina.andriamanantena@undp.org, 0385552080Ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, Directeur de la Communication, Mr. Solo RAJAONSONdircom@meh.mg, solo.rajaonson@gmail.com, 0333330026 / 034 11 136 74
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Communiqué de presse
29 avril 2024
RAPPORT DES RESULTATS DES NATIONS UNIES MADAGASCAR
Le Rapport des résultats du Système des Nations Unies à Madagascar pour l’année 2023 est désormais accessible sur le site web des Nations Unies Madagascar. Ce rapport, remis au gouvernement le 26 mars 2024, reflète les réalisations et contributions du Système des Nations Unies aux efforts de développement de Madagascar durant l’année d’activités, et démontre l’engagement du Système des Nations Unies à être plus transparent et plus redevable. . Remerciements du Système des Nations Unies à Madagascar, sous le leadership de M. Issa Sanogo, son Coordonnateur résident, à l’endroit des membres du personnel du système dans tout Madagascar pour leur volonté et les efforts fournis pour contribuer au développement durable du pays. Le Système des Nations Unies à Madagascar est également reconnaissant envers les différents partenaires, dont l’État, les différentes institutions, les partenaires techniques et financiers, le secteur privé , les organisations de la société civile, les chefs de villages, les personnes handicapées, les femmes, les jeunes, et la population dans toutes ses composantes pour leurs soutiens au développement du pays, et sans oublier les médias qui ont toujours été fidèles dans la transmission des informations au public. L’année 2023 a également été la dernière année de mise en œuvre du plan-cadre de coopération des Nations Unies pour le développement durable pour le cycle 2021 -2023 suivant ses quatre priorités stratégiques : PS 1 : Renforcer la bonne gouvernance, l’état de droit et la sécurité,PS 2 : Assurer le développement du capital humain et l’exploitation du dividende démographique,PS 3 : Impulser la productivité du travail et la création d’emplois productifs pour des revenus décents et une économie compétitive,PS 4 : Renforcer la gestion durable, résiliente et inclusive de l’environnement. Nombreuses réalisations ont été enregistrées durant l’année 2023 avec les efforts de toutes les agences en étant solidaires avec le gouvernement et en collaboration avec les différents partenaires et la participation des bénéficiaires, allant du renforcement des capacités des institutions nationales à l'expansion de l'accès de la population aux services sociaux, et de l'amélioration de l'employabilité des jeunes au renforcement de la résilience des communautés face au changement climatique. Quelques exemples concrets du type de réalisations auxquelles le Système des Nations Unies a contribué en 2023 : En matière de gouvernance, 114 tonnes d’imprimés sensibles ont été acquis pour l’élection présidentielle, incluant 3 000 bulletins en écriture Braille pour permettre aux personnes malvoyantes de participer au scrutin. Dans le domaine du capital humain, environ 975 000 personnes ont obtenu un accès à un service d'assainissement de base. Dans le cadre de l’emploi, le soutien aux innovations pour améliorer la productivité agricole a bénéficié à près de 200 000 personnes. En ce qui concerne l’environnement et le changement climatique, Madagascar a été le premier pays du monde à élaborer son plan d’action « alertes précoces pour tous » dont la mise en œuvre débute cette année 2024. Le Système des Nations Unies travaille de manière de plus en plus intégrée, ce qui facilite l'obtention de tels résultats. Les 11 projets conjoints impliquant plusieurs agences, avec un budget total de 54 millions de dollars américains (USD) en témoignent. Cette même coordination entre agences a permis au système de devenir plus efficient et d’éviter des coûts opérationnels de plus de 3 millions USD en 2023 - des gains qui bénéficient à la mise en œuvre de ses programmes sur le terrain. Grâce au précieux soutien des partenaires techniques et financiers, 80 % des 199 millions USD nécessaires pour mettre en œuvre la programmation planifiée pour 2023 ont été disponibles. À l'horizon 2024, avec le nouveau plan-cadre de coopération 2024-2028, le Système des Nations Unies à Madagascar contribuera à la Politique générale de l’État en concentrant ses efforts sur les domaines d’accélération des ODD, par exemple la transformation de l'éducation, les systèmes alimentaires, l’agenda climat, la digitalisation, et l'emploi et la protection sociale, tout en continuant ses efforts dans l’initiative Spotlight, un programme ambitieux et holistique afin de mettre fin aux violences envers les femmes et les filles. Les acquis des interventions en faveur du développement sont réelles car les histoires de réussite ont été relatées pour décrire combien les efforts des agences du Système des Nations Unies ont apporté leurs fruits. Néanmoins, la route reste encore longue jusqu’en 2030. Il reste encore beaucoup à faire. C’est pour cela que les Nations Unies pensent déjà au futur en organisant cette année le sommet de l’avenir qui se tiendra à New York en septembre, et qui offrira l'occasion de réfléchir aux défis les plus urgents auxquels nous sommes confrontés et de renouveler notre engagement en faveur du multilatéralisme et de la coopération internationale vers l’atteinte des ODD. Contact: Zoe Rasoaniaina, Tel: 0345953109, WhatsApp: 0320746669, rasoaniaina@un.org
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Communiqué de presse
03 avril 2024
REUNION DU COMITE DE PILOTAGE CONJOINT DU PLAN CADRE DE COOPERATION DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT (UNSDCF 2021-2023)
Dans ce cadre, une réunion du comité de pilotage de l’UNSDCF s’est tenue ce jour au Carlton Anosy, coprésidée par la Ministre de l’Économie et des Finances Madame Rindra Hasimbelo RABARINIRINARISON représentée par la Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Fonction Publique Madame Hanitra Fitiavana RAZAKABOANA, et le Coordonnateur Résident du Système des Nations-Unies à Madagascar, Monsieur Issa SANOGO.Ce Comité de pilotage est composé de Ministres et Chefs d’Agence des Nations Unies coprésidents de chaque priorité stratégique du cadre, de Représentants des Partenaires Techniques et Financiers, du Secteur Privé et de la Société Civile.Ce travail conjoint fut l’occasion d’échanger sur les principales réalisations collectives obtenues pour l’année 2023, de discuter des bonnes pratiques identifiées et des contraintes rencontrées durant la mise en œuvre. Elle a également permis de définir les orientations stratégiques pour améliorer la mise en œuvre de l’UNSDCF 2024-2028, et de présenter le rapport des résultats de développement du Système des Nations Unies à Madagascar en 2023.L’UNSDCF est la réponse commune du système des Nations Unies aux trois piliers de la Politique Générale de l’État et aux obstacles structurels à la réalisation des Objectifs de développement durable de Madagascar. Il permet ainsi de poursuivre leur engagement à accompagner l’État malagasy dans la mise en œuvre de ses programmes.En tant que Co-Présidente du comité de pilotage, Madame la Ministre de l’Économie et des Finances représentée par Madame la Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Fonction Publique, a réaffirmé l’engagement du Gouvernement pour l’atteinte des Objectifs de l’agenda 2030 par le biais de l’UNSDCF : « Au nom du Gouvernement, je tiens à réaffirmer son engagement dans le partenariat avec le Système des Nations-Unies afin d’accroître l’efficacité de nos efforts en faveur de l’émergence de Madagascar ».Quant au Coordonnateur résident des Nations Unies, il a souligné que pour le Système des Nations Unies, les réunions de Comité de pilotage restent essentielles pour concrétiser notre engagement à être plus transparents, plus redevables et plus à l'écoute vis-à-vis des partenaires. Il a ajouté que « Le SNU travaille de manière de plus en plus intégrée, ce qui facilite l'obtention de meilleurs résultats. Grâce au précieux soutien des partenaires techniques et financiers, 80 % des 199 millions USD nécessaires pour mettre en œuvre la programmation planifiée pour 2023 ont été acquis. Et 83 % de cette somme, soit 131 millions USD, ont été effectivement déboursés et mis en œuvre. »Tenant compte des défis à relever, et des différents aléas, le Gouvernement Malagasy et le Système des Nations Unies réaffirment leur engagement à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’agenda 2030. Ceci à travers l’obtention de résultats collectifs capitalisant une approche plus systémique, intégrée et synergétique pour les futures collaborations avec les institutions et agences.
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Communiqué de presse
02 octobre 2023
COMMUNIQUE DE LA MISSION DES NATIONS UNIES POUR LE SUIVI DES AVANCEES REALISEES DANS LA PREPARATION DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE DU 9 NOVEMBRE
La délégation était composée de représentants des Divisions de l'Afrique de l'Est et de l'Assistance électorale du Département des Affaires politiques et consolidation de la paix, du Haut-Commissariat aux droits de l'homme, du Programme des Nations Unies pour le développement, et a bénéficié de l’appui du Bureau du Coordonnateur des Nations Unies à Madagascar, Issa Sanogo. Cette mission fait suite à une précédente mission déployée au mois de mars dernier, à la requête du Gouvernement de Madagascar.
Durant son séjour, la délégation a rencontré les principaux acteurs nationaux impliqués dans le processus électoral ; notamment, la Haute cour constitutionnelle (HCC), la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le Président du Sénat, le Premier Ministre, Chef du gouvernement collégial, des membres du gouvernement, des candidats à l’élection présidentielle, des Organisations de la société civile et le Conseil des Eglises Chrétiennes de Madagascar (FFKM). La mission a également eu des échanges fructueux avec des représentants de la communauté diplomatique.
La mission réitère l’engagement du Système des Nations Unies à appuyer le peuple et le gouvernement de Madagascar dans l’organisation d’une élection présidentielle crédible et transparente dans un climat socio-politique apaisé. La mission encourage toutes les parties prenantes du processus électoral à prioriser l’intérêt national et à
résoudre leurs différends par la concertation et de manière pacifique en vue de renforcer la confiance, en utilisant les mécanismes et cadres institutionnels établis par la Constitution malagasy. La mission appelle également tous les acteurs de la société malagasy, en particulier la classe politique et les médias, à s’abstenir de disséminer et à combattre tout discours qui pourrait inciter à la haine, à la discrimination, à la division ou à la violence avant, pendant et après l’élection présidentielle.
Enfin, la mission appelle toutes parties prenantes au processus électoral à la retenue et à faire montre d’un sens élevé de responsabilité. Elle réaffirme aussi le droit de toutes les parties de s’exprimer et de se réunir pacifiquement ainsi que l’importance de poser les jalons d'un processus électoral équitable et crédible qui produirait un résultat accepté par tous et reflétant la volonté du peuple. Un tel résultat permettra à Madagascar de renforcer son ancrage démocratique ainsi qu’une meilleure mobilisation de tout son potentiel en faveur des Objectifs de développement durable, en particulier la lutte contre la pauvreté, avec le soutien de la communauté internationale.
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